top of page

NOS ARTISTES

Philippe Duthilleul

France

Corinne Pinet

France

Ron Hicks

USA

Anastasio Marquez

Belge

Sous le nom de ROUGE C, l'artiste s'intéresse à l'art méditatif de la peinture d'inspiration japonaise. Avec l'encre sumi et le papier comme toile, chaque trait est une danse d'émotion et de précision. Un jardin secret, un lieu où la tradition rencontre l'expression personnelle, créant des pièces aussi sereines qu'un jardin zen et aussi percutantes qu'un haïku.

Rouge C

Belge

Jean Vinclair

Belge

Daniel Soledispa est né en 1989 en Équateur et, à l'âge de 12 ans, il a déménagé dans la chaude ville méditerranéenne espagnole de Carthagène, où il vit depuis lors. Il se déclare fan des grands peintres de l'histoire de l'art, et l'admiration qu'il ressent ainsi que le désir de peindre comme eux le conduiront à étudier les Beaux-Arts en 2009, et en 2014 il deviendra officiellement artiste. Après avoir exposé certaines de ses œuvres à l'université et après une interruption de trois ans depuis la fin de ses études, il commencera en 2017 à travailler sur son premier projet artistique, dédié et mettant en vedette l'architecture de sa ville d'adoption. C'est ainsi que naîtra Disforme , un projet surréaliste qui se veut le reflet de ce qu'il cherche à faire en tant qu'artiste. Ce projet lui donnerait l'opportunité de réaliser sa première exposition individuelle en 2018, réalisée en collaboration avec la Mairie de Carthagène, dans le cadre d'un programme local qui cherche à promouvoir la carrière de jeunes artistes, la même année son travail ferait partie de une exposition collective intitulée 13 vues subjectives. Le bon accueil que le projet eut le motivera à continuer à travailler sur sa carrière artistique, et après un voyage à Bruxelles il commencera à collaborer avec la galerie L' Arbre à Plumes, pour préparer une série avec Bruxelles et la Belgique dans la même ligne. comme le projet de Warp.

Son travail se développe dans des lignes surréalistes et réalistes, où le dessin et la peinture avec un style presque photographique sont l'un de ses objectifs depuis le début de sa carrière, même s'il se sent loin d'être un grand peintre, il estime qu'il est toujours ce fanatique qui un jour, il décide d'essayer de peindre comme les artistes qu'il admire. Actuellement, il continue de vivre et de travailler en Espagne

Daniel Soledispa

Espagnol

Showzi Tsukamoto

Japon

Christian Dugardeyn, alias Duga est né à Bruxelles. Enfant déjà , il est attiré par l'art pictural. Plus tard il s'inscrit à l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles et en Fac de Médecine .Il deviendra radiologue et artiste. L'expression de Duga est spontanée, énergique et vitale. Il donne libre cours à ses émotions au travers de diverses techniques, mais le dessin, la peinture et la sculpture restent ses médiums de prédilection. Il utilise la" ligne continue" comme un moyen d'exprimer ses émotions primitives, sans tenir compte de la réalité. Cette ligne est utilisée pour raconter une histoire en la laissant courir librement sur la surface de la toile ou du papier. Il utilise une succession d'arabesques, de lignes ou de lignes tourbillonnantes, spontanées, urgentes, comme si la vie ne tenait qu'à un fil. Au fil du temps, il expérimente de nombreuses autres voies, où la spontanéité et l'instinct restent les objectifs principaux de sa démarche artistique. Duga est principalement un peintre figuratif mais à force de déformer ses sujets (car il estime que c'est en déformant qu'on se rapproche de la vérité), il est passé par une phase d'abstraction de 2 ans (durant la pandémie de Covid) pour mieux revenir récemment à une forme de figuration fortement imprégnée d'abstraction. Duga remet constamment en question l'être humain. C'est l'occasion d'un travail sans fin, car il sait que ses questions resteront à jamais sans réponse. L'homme est intéressant — sa vie intérieure, ses souffrances, ses joies, ses peines, ses incohérences, ses peurs, sa solitude, ses démons et sa vie sociale. Duga est constamment en recherche, prêt à explorer chaque chemin, chaque branche de ce monde, à la recherche du moindre élément qui puisse l'aider à comprendre un peu plus l'humain. « Les arts premiers, l'art africain, l'art océanien, l'art expressionniste américain, l'art brut et l'art enfantin m'ont beaucoup marqué. J'y trouve mes racines. Les expositions de Dubuffet et de Chaissac ont été pour moi un choc et une grande révélation. Ils ont transmis ce qui est encore pour moi aujourd'hui un des principes de base de ma démarche artistique : la spontanéité et l'instinct. Les écritures et graffitis du Street Art m'intéressent par la fluidité et la rapidité du geste, ainsi que par l'explosion des couleurs. Tout est possible. La figuration libre m'a appris à toujours expérimenter , à toujours laisser ouvert le champ des possibles.

Christian Dugardeyn

Belge

Frederic Tombelle

Belgique

Sanmu Kunisada

Japon

Kazuhito Kawai

Japon

Uematsu Kyoko est un artiste japonais dont les peintures ont été exposées à l'échelle nationale, ainsi qu'en Chine et en Belgique. Elle décrit ses travaux comme traduisant l'énergie pure des animaux et relatant également que les humains possèdent également des énergies similaires. Les compositions distinctives et audacieuses de Kyoko sont créées à l'aide d'acryliques, de pastels à l'huile, de peintures en aérosol et de crayons de couleur avec des techniques mixtes sur papier ou toile.

Kyoko Uematsu

Japon

Sogen Chiba

Japon

DIdier Bécet

France

Roland Höft

Allemagne

Jacques Minato

France

Zani

France

Pooshy Lebaron

France

Christine Rémy

France

Philippe Plaisir

France

The history of sho (traditional Japanese calligraphy) has been transmitted steadily since ancient times in the Japanese artistic tradition. Mizuho Koyama becomes the new liberator of sho creating an original world while employing an innovative style different from its predecessors.Her first innovation has been to make use of poetry in English and other types of alphanumeric writing that people all over the world can read. Secondly she has incorporated factors taken from the free graffiti which can be regarded as the extreme opposite from traditional sho with its rigid rules of character expression. Thirdly she has ingeniously harmonized on paper the classics and techniques of sho to establish her original style of expression. At the core of her work is her great wish to creates works that touch the conscience shared by people around the world beyond the borders of nationality religion and the era—a wish that she expresses in simple black and white.

Mizuho Koyama

Japon

Reiko Tsunashima

Japon

bottom of page